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Théâtre paradant les Veuves Noires

De tous temps les femmes-araignées ont séduit et effrayé les hommes. Tissant le fil de la vie et le coupant abruptement, les Parques déjà, du temps des grecs, et, en Amérique centrale où la Femme-araignée, un temps confondue avec la Malinche, pleure sous les ponts et s’empare des enfants qui s’égarent .

Trois personnages qui incarnent la mort, la souffrance et l’avidité gourmande se font une toile sur le grand écran de la ville.
Malgré l’aspect, elles sont charmantes et donnent cette opportunité qui n’est pas si fréquente, et même plutôt rare, d’apprivoiser un cauchemar.


Cette déambulation échassière et chorégraphiée de trois monstres hybrides sur le fil d’un violon explore aussi bien le thème de la féminité que de la monstruosité.

Avec:
Jaco Martin, Mona BAUSSON, Mika CAUDAL, Virginie BRACQ
Conception : Pierre PREVOST
Chorégraphie : Yano IATRIDES
Costumes : Véronique VIGNERON

PRESSE:

PEUR SUR LA VILLE

Trois grosses araignées ont débarqué hier place du Coderc. Ce sont les "veuves noires" de la compagnie française Acidu. L'histoire est celle d'une fillette qui domestique de féroces insectes. Sa recette ? elle joue du violon. Elle attire et repousse successivement les araignées qui pourraient l'engloutir d'un seul coup de mandibule. Techniquement, le spectacle est très adroit. La chorégraphie est belle. Les acteurs-araignées ont dansé, tourné dans tous les sens du haut de leurs échasses. Histoire de célébrer la victoire ? A la fin du spectacle ce sont les araignées qui triomphent de leur jeune maîtresse. En l'emprisonnant dans leur toile.

DORDOGNE LIBRE / 1er aout

ILS SONT VELUS ILS SONT TOUS Là

Les Veuves Noires, personnages mi-femmes mi-araignées interprétés par la cie Acidu ont séduit avec leur spectacle de rue. Déambulant sur des échasses, avec des costumes superbes, ces femmes-araignées possèdent à la fois tout le charme féminin entouré de la dangerosité d'une araignée. Un superbe spectacle.

L'écho Dordogne