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Une re-création, voire une récréation, un spectacle déambulatoire qui célèbre l'arrivée tonitruante de ce parangon de maternité doltoïste qu'était Agrippine et la suite tant attendue des aventures des Graaleurs & de la Marquise de Noutroy

TroisFoisTrois, ce sont trois épopées historiques lâchées dans notre présent et comportant chacune trois protagonistes.

L’une au temps de l’empire romain , la seconde médiévale, la troisième XVIIIème.

Détournées, inventées, anachroniques quand il le faut, elles ont d’abord pour but de faire miroir aux préoccupations d’aujourd’hui.

 

Montage réalisé à partir de photos prises par Jean-Jacques Barbet à Issy les Moulineaux , Parcs en Fêtes, le 16 sept 2007

Les photos suivantes ont été prises à Aurillac 2007 par Moha

Le module romain explore, autour du personnage d’Agrippine, mère de Néron, & ses deux gardes du corps (Marius & Librius), les rapports à la puissance, aux médias (tout le mal qu’on a dit de son pauvre fiston), la maternité abusive et la violence. Avec la première saynète 100% latin du théâtre de rue.

Le module médiéval explore, autour de 3 chevaliers en quête du Graal, les rapports à la religion, à l’ambition, au féminin (la courtoisie), aux mythes, au savoir, à l’amitié virile, à la force, aux superstitions.

Le module XVIIIème explore, à partir du personnage de la Marquise de Noutroy, noble dame séduite par les idées novatrices, indépendante mais très aristocrate cependant, et de 2 laquais Hector et Victor, les rapports de séduction, de rivalité, de pauvreté, d’intrigues, et de politique.

Le tout fortement épicé d’humour, comme il se doit.

Textes & chansons: Pierre Prévost

Mises en jeu: Louis Gatta (Agrippine) Djamel Afnaï (Graaleurs) & Jacot Martin (Marquise)

Jeu: Marthe Drouin, Anthony Cantin, Patrick Geslin , Margot Mc Laughlin, Djamel Afnaï, Louis Gatta, Samuel Mathieu, Jacot Martin, Pierre Prévost

Costumes & volumes: Véronique Vigneron Fabrication robe Agrippine: Hélène Garreau

Avec l'aide de la Région Poitou-Charentes et de la Maison du Comédien Maria Casares

Le passé structure notre présent, c’est l’intérêt premier de l’histoire. Il le structure mais il l’interpelle également en lui donnant des bases comparatives tant au niveau du mode de vie que des valeurs. Même si irrémédiablement passée, l’histoire n’est pas figée ; elle évolue toujours parce que notre regard change, que nos besoins changent et qu’ils nous font voir chaque période sous un angle de vue différent. En se renouvelant régulièrement elle alimente notre besoin de valeurs.

cie acidu: théâtre de rue / teatro de calle / teatro da rua / street theater