Des « horribles gamines », espiègles et moqueuses chevauchent des oiseaux de papier.
Au gré de leur parcours, elles interpellent le passant sur des comptines vachardes, haîkoucous saugrenus, histoires abstruses, comme sorties des marges d’un cahier d’écolier…
Un spectacle déambulatoire poétique, fait de calembredaines de papier, où l’on s’arrête de temps en temps pour des rafales de mots.
Les Origamines existent aussi en version « classique » ou de Noël
Texte et mise en jeu : Pierre Prévost
Costumes : Véronique Vigneron et Julie Le Pallec
Jeu : Mika Caudal, Isabeau Shahzada, Isabelle Sueur, Marthe Drouin,…